Wolfgang Fortner
Bluthochzeit
Opéra de Wuppertal
Première: 13/01/2013
Direction musicale : Hilary Griffiths
Mise en scène et décors : Christian von Götz
Costumes : Ulrich Schulz
avec :
Mère : Dalia Schaechter
Mendiante (la mort) : Ingeborg Wolff
Leonardo: Thomas Laske
Mariée: Banu Böke
Père de la mariée : Stephan Ullrich
Femme de Léonardo : Miriam Ritter
Marié : Gregor Henze
Lune : Martin Koch
Démon : Verena Hierholzer
entre autres
Combler
„Une des meilleures productions de la région et de la saison »
(Westfälischer Anzeiger, 16/01/2013)
« Un succès éblouissant … standing ovations pour la régie »
(Rhein-Neckar-Zeitung, 16/01/2013)
« Par cette réalisation on peut vivre un opéra qui nous surprend par sa modernité, et qui par la mise en scène virtuose de Christian von Götz a trouvé une nouvelle, même vraie vie. »
(Kultur-Kenner, 16/01/2013)
« De nouveau Christian von Götz fait une réussite triomphale (…) Après avoir vécu deux heures et demie de tragique intense, imprégnées d’idées surréalistes et de symbolisme, les spectateurs rivalisent de bravos adressés aussi particulièrement à l’équipe de mise en scène. » (Opernnetz, 15/01/2013)
« (…) une mise en scène inspirée et un ensemble engagé font réussir cette entreprise audacieuse. »
(WDR5, 14/01/2013)
« Une mise en scène fulgurante de Bluthochzeit de Wolfgang Fortner à Wuppertal »
(Neue Osnabrücker Zeitung, 15/01/2013)
« Christian von Götz met en scène cette œuvre de manière angoissante »
(Westdeutsche Zeitung, Düsseldorf, 15/01/2013)
« Dans cette mise en scène par Christian von Götz, forte en images impressionantes (…) »
(Westdeutsche Zeitung, Wuppertal, 15/01/2013)
« Le metteur en scène Christian von Götz raconte le sort de deux familles de manière dense et avec une expressivité captivante. »
(Bergische Morgenpost, 15/01/2013)
« Les mérites de cette soirée émouvante et enthousiasmante se partagent à part égale la mise en scène, la musique et les interprètes. Ce qui est du même génie, c’est que Christian von Götz a décidé de ne pas exiler l’orchestre dans la fosse, mais de le placer sur le fond rehaussé. »
« Incontestablement, c’est du grand théâtre (…). Avec une mise en scène qui en vient à l’essentiel. »
(Theater Pur, 15/01/2013)
« (…)sur ce point la mise en scène et les décors réalisés par Christian von Götz que nous pouvons voir actuellement à Wuppertal vaut absolument le voyage. »
« Christian von Götz réalisa une mise en scène d’une grande intensité angoissante, qui par nombreuses allusions symboliques répandait sur scène un climat presque explosif, captivant totalement le spectateur. »
(Neuen Merker,15/01/2013)
« Peut-être qu’on ne voudrait pas écouter la musique de Fortner chez soi au salon. Mais dans cette mise en scène elle se présente de manière absolument captivante et nous offre une soirée d’opéra grandiose. »
(Online Musik Magazin, 15/01/2013)
« La mise en scène fulgurante de Christian von Götz »
(Westfälischer Anzeiger, 16/01/2013)
« Le metteur en scène Christian von Götz se montre maître dans l’art à mener le personnage. »
(IOCO, 13/01/2013)
« Avec un grand pouvoir de concentration, riche en détails, il dirige avec la main sûre l’ensemble très engagé et assorti éminemment, et traduit de manière grandiose le contraste entre la tristesse pesante du milieu et le désir de liberté des jeunes gens. »
(Neue Osnabrücker Zeitung, 15/01/2013)
Benjamin Britten
The Turn Of The Screw
Opernhaus Magdeburg
Premiere: 02.10.10
Musikalische Leitung: Adrian Prabava
Inszenierung: Christian von Götz
Ausstattung: Lukas Noll
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Governess: Noa Danon
Mrs Grose: Lucia Cervoni
Quint: Manfred Wulfert
Miss Jessel: Undine Dreißig
Flora: Julie Martin du Theil
Miles: Henning Stangl
Combler
„Faszinierende Inszenierung von Christian von Götz“
(Magdeburger Sonntag, 12/10/10)
„Begeisterter Applaus für alle“
(Opernglas, 12/10)
„Man sollte diese Produktion unbedingt erleben!“
(aspektMagazin, Magdeburg, Nov.10)
„Die Inszenierung...gelingt mit Bravour“
(Neues Deutschland, 25.10.10)
„Raffiniert“
(Opernwelt, Dez 10)
„Christian von Götz hat zahlreiche eindrucksvolle Bilder gefunden....Eine großartige Leistung“
(Volksstimme, Magdeburg, 6.10.10)
Giacomo Puccini
Turandot
National Opera Odessa
Premiere: 22.05.10
Musikalische Leitung: Alexander Samoile
Inszenierung: Christian von Götz
Ausstattung: Lena Brexendorff
Choreographie: Verena Hierholzer
Turandot: Olga Perrier/Tatjana Anisimova
Kalaf: Valerij Benderov/Aleksey Repchinskij
Liu: Larisa Zuenko/Olena Kisteneva
Timur: Vasily Navrotskij/Viktor Shevchenko
Ping: Vasilij Dobrovolskij/Vladimir Muraschenko
Pang: Valerij Regrut/Sergey Krasnykh
Pong: Andrey Perfilov/Oleg Zlakoman
Kaiser: Sergey Krasnykh/Anatolij Kapustin
Mandarin: Vladimir Muraschenko/Ivan Fliak
Combler
„Turandot in der Regie von Christian von Götz – das
bedeutet einen neuen Impuls in der Bühnenkunst. Wir sind hier Zeuge vom
Beginn eines neuen und faszinierenden Kapitels in der Geschichte des
Theaters unseres Landes.“
(Odessa Daily, 24. Mai 2010)
„Die Umsetzung der sehr ausgefeilten, jeden einzelnen
Sänger individuell führenden Regie von Christian von Götz hatte eine
Qualität, wie sie an führenden westlichen Häusern nicht immer erreicht
wird.“
(Opernglas, Juli/August 2010)
Richard Strauss
Capriccio
Edinburgh International Festival/Oper Köln
Premiere Köln: 31.05.09
Films: 1
Musikalische Leitung: Markus Stenz
Inszenierung: Christian von Götz
Ausstattung: Gabriele Jaenecke
Gräfin: Gabriele Fontana/Camiila Nylund/Solveig Kringelborn
Graf: Ashley Holland
Flamand: Martin Homrich/Hauke Möller
Olivier: Miljenko Turk/Johannes Beck
La Roche: Michael Eder
Clairon: Dalia Schaechter/Ursula Hesse von den Steinen
Monsieur Taupe: Johannes Preissinger
Italienische Sängerin: Csilla Csövari/Katharina Leyhe
Italienischer Sänger: Benjamin Bruns/Ray Wade
Haushofmeister: Ulrich Hielscher
Tänzerin: Luisa Sancho Escanero/Birgit Mühlram
Combler
„Die Inszenierung von Christian von Götz macht aus der
Handlung ein kongeniales Spiel im Spiel (…) Bilderstark, intellektuell
überzeugend, emotional bewegend, getragen von einem intensiv agierenden
Solisten-Ensemble wächst da ein Opernabend, dem man sich nicht entziehen
kann.“
(dacapo, 22. 6. 2009)
„Einsturz des Elfenbeinturms – Christian von Götz
verleiht Richard Strauss’ Capriccio auf intelligente Weise eine
politische Dimension. (...) Strauss und sein Librettist schufen ein
autonomes Kunstwerk, das die reale Welt aussperren möchte. Es ist
vielleicht der künstlerische Versuch, die Hölle zu überleben. Dass dies
eine utopische Vorstellung bleiben muß, zeigt die Kölner Inszenierung
auf faszinierende Weise.“
(Bonner General-Anzeiger, 2.6.2009)